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Reaping Machines (Français)

à mon arrivée ici, de Chicago, j’ai trouvé, dans le  » Scientific American « du 23d ult, cité dans « The Niagara Mail », une déclaration  » que la faucheuse a été inventée en Écosse il y a vingt ans, et réinventée par Mr., McCormick, un Écossais aux États —Unis, qui l’a présenté à L’Exposition universelle, »—avec des affirmations similaires si rapport à Hobb’s Lock et le Yacht America-ainsi que votre contradiction de cette déclaration, sauf que vous « ne niez pas » l’invention du Reaper, comme prétendu, en Écosse,  » bien que, » comme vous le dites correctement,  » beariug T. Scotch nom, M. McCormick est originaire de Virginie; et s’il a réinventé le Reaper, il était original avec lui, » cI ont également observé, dans des journaux étrangers, des revendications similaires—que la faucheuse a été inventée à L’origine par REV. , Patrick Bell, D’Écosse, dont l’un a été envoyé dans ce pays en 1834, à partir duquel L’American Reaper a probablement été copié. Il est dit, dans un article publié dans le « Journal of Agriculture », et les « Transactions of the Highland and Agricultural Society, Of Scotland », par M. Slight, conservateur des modèles de la société, que  » toutes les machines à moissonner maintenant utilisées dans l’Union sont basées sur le même principe, qui est la caractéristique principale—le CUTTER— dans Bell. »en réponse à une enquête de votre, sur la signature de » Geo. K., Fuller, » de L’État de New York, je trouve une lettre dans un numéro tardif de votre journal, témoignant de « l’importation de la machine à moissonner le Scotch, en L’an 1S34 », de son coût (*34s,4G), et du « premier procès de ses pouvoirs de travail, l’année suivante, fait en présence du révérend M. Bell, l’inventeur », et d’autres, »dans la moisson de champ de blé de niveau de deux à trois acres, en environ autant d’heures « 1, avec une explication de la vôtre annexée, » que le Reaper d’O. hus-SeY a été breveté m 1833, et celui de MC-Cormidi en 1834. »Sans aucune disposition à porter atteinte aux mérites de M., Bell, ou tout autre inventeur, je vous prie de laisser, à travers votre Journal largement diffusé et précieux, pour faire les explications suivantes en ce qui concerne cette question, afin que votre devise, l – honneur à qui l’honneur est dû, » peut être tally effectué.En ce qui concerne l’origine de ma machine à moissonner, L’Hon., Edmund Burke, ancien Commissaire aux brevets, dans une lettre adressée aux sénateurs Douglas et Shields, datée du 4 mars 1850, dit: « Lorsque ces deux brevets ont été délivrés, l’Office des brevets n’a pas examiné les points d’originalité et de priorité de l’invention, mais a accordé tous les brevets demandés, comme une évidence. Par conséquent, il n’y a pas de preuve certaine que, parce qu’un inventeur présumé a obtenu un brevet avant son rival, il était le premier inventeur original. En fait, il s’agissait d’une circonstance de très peu d’importance dans son incidence sur la question de la priorité entre les parties., En outre, le témoignage que M. McCormick a présenté au Board of Extension A clairement prouvé qu’il avait inventé et mis en service sa machine en 1831, deux ans avant la date du brevet de Hussey, »—quand,aussi,il y avait plus de grain coupé avec ma machine qu’avec celle de M. Bell en 1835. comme indiqué ci-dessus., Encore une fois, la suite est sur le rapport du Comité O brevets du Sénat des États-Unis, rapporté le 30 mars 1859 :— » que, témoignage a été alors pris, conformément à l’ordre du Conseil; et par la preuve présentée par Aaid McCormick, il est apparu de façon concluante qu’il a inventé sa machine, et d’abord testé pratiquement et publiquement son fonctionnement dans la récolte de 1831; et que  » 1833: (voir pièce 17)., »L’évi-nence ici mentionnée était la déclaration de M. Hussey lui-même en tant que témoin, alors qu’il est vrai qu’au moment de l’invention originale de ma moissonneuse, et pendant de nombreuses années par la suite, je ne savais pas (les expériences d’andBell dans la moissonneuse à cheval, la prochaine et seule question restante est, quelle machine Moissonneuse M. Bell a—t-il vraiment inventée, et quelle ressemblance existe-t-il entre sa machine et la mienne, – si celle de Bell était « la moissonneuse », au lieu de, comme vous l’avez dit,  » la moissonneuse de McCormick qui a gagné un triomphe à l’Exposition universelle?, »Si oui, comme vous l’avez bien fait remarquer, que « cette invention utile » aurait dû être autorisée à profiter du sommeil Rip Yan Winkle entre les mains de son inventeur, jusqu’à ce qu’elle soit présentée à la Grande Exposition de toutes les nations, par un Américain, !- Les Anglais et les Écossais devraient se faire honte ! »Mais pas tout à fait; car bien que, dans un procès fait à la ferme de M. Watson (D’Écosse, intéressé par M. Bell), lors de la dernière récolte avec la machine de Hussey, telle qu’elle a été faite et exposée par M. Cros-kill, la prime a été attribuée à M., Bell, il reste, encore à démontrer que son est pratiquement une machine de fonctionnement utile du tout, – un simple ESSAI, fait dans des circonstances favorables, n’étant pas un test suffisant de ces pieds, comme toute personne connaissant la récolte par les machines doit être  » au courant de. En effet, sur ce point, le fait que la machine de Bell ait, pendant plus de vingt ans, été utilisée entre les mains de l’inventeur (ou de son frère, dit—on) seul, et n’ait pas été, à la fin de cette période, jugée par lui-même digne d’une exposition à l’Exposition universelle, si près de sa propre,Enfin, bref, la principale différence entre les principes de la ma chine de M. Bell et les miens sont, d’abord, les coupes de Bell avec une série de cisailles (quelque 14 pouces de longueur !) qui, pour fonctionner, exigent toute la précision et l’exactitude d’allumer, dans les arêtes de coupe, des cisailles utilisées à d’autres fins, comme on l’entend généralement, et qui ne sont pas réalisables dans une machine à moissonner. Dans ma machine, la coupe est effectuée par le Sim-plesti ainsi que la plus efficace et la plus durable de toutes les arêtes de coupe pour la faucille. Dans M., La machine de B ell, le grain est recueilli par la bobine sur le tablier mobile, ou la toile, conçue pour le décharger régulièrement dans sivathj et qui, on ne prétend pas, répondra du tout au but dans le grain logé. Dans le mien, le grain est recueilli par une bobine sur une plate-forme immobile, où il est recueilli en gerbes, puis déposé sur le côté de la machine par un homme, avec un râteau, monté dessus. La machine de Bell est propulsée devant les chevaux, tandis que la mienne est tirée derrière eux., Ainsi, on verra que mon Reaper, dans son plan et ses principes de fonctionnement, est essentiellement et entièrement différent de celui de M. Bell D’Écosse.1en donnant à ce qui précède une place dans votre journal, vous, j’espère, ne ferez pas plus que par vos lecteurs, sera considéré en raison du sujet tandis que vous obligerez, très resp*t-pleinement, ‘ C. H. MCCOHMICK.New York, Nov. 4, 1852.